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Soirée Robert Burns du Ceilidh Club.
En introduction, quelques éléments de culture écossaise : Le haggis...
Arrêtez de dire que c'est de la "hmmmmm." Tous ces gens qui ont apprécié la panse de brebis farcie servie au Devézou le 26 janvier ne pouvaient pas avoir tort. Il n’y a pas que des français qui font des blagues concernant ce plat presque mythique. Le haggis a donné naissance à diverses légendes même dans son pays d’origine, l’Écosse. Il y en a qui disent que la viande vient du haggis sauvage, créature avec de la fourrure devant et des plumes derrière. Fait pour courir dans les Hautes Terres, il a une patte plus courte que l’autre, comme le dahu, et ne peut galoper que dans le sens des aiguilles d’une montre autour de la montagne. Pour l’attraper, il suffit de tourner dans le sens opposé.
L’Écosse est un pays où il y a beaucoup de lacs, et le haggis sauvage nage très bien, se servant de ses pattes pour se propulser. Il peut atteindre une vitesse de 35 nœuds, ce qui empêche sa capture lorsqu’il est dans l’eau. En général, les écossais l’apprivoisent avec du whisky. On dit aussi que le cri du haggis serait à l’origine de la cornemuse, instrument qui aurait été inventée dans le but de faciliter la chasse au haggis, car lorsqu’un haggis est menacé, il pousse son cri pour attirer tous ses congénères à son aide.
De toute façon, à la salle du Devezou, ce 26 janvier, il y avait haggis, cornemuses, whisky, kilts, musique et danses écossaises pour fêter le 252ème anniversaire de Robert Burns, le bard d'Écosse. La cérémonie comprenait notamment la traditionnel ode à un haggis, écrite par Burns, ainsi qu'un "toast" aux dames, et leur réponse. Les musiciens accompagnaient les valses et les reels, et même la grande salle du Devezou a semblé petite à tous les danseurs.
Si vous avez manqué cette belle soirée, il y aura bien d'autres occasions de déguster pleinement de la culture écossaise ...
D'autres courtes vidéos de cette soirée sont visibles en cliquant sur chacune des photos du texte.
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